très bon

Là Gonzague, faudrait que t'arrete un peu de faire ton zouave, déjà au match au Bocage, j'ai eu un peu honte (et je suis pas le seul je te jure), faudrait un peu grandir, et je sais pas, choisi un autre cri de guerre ca serait mieux!

"Sans un grain de folie, il n'est point d'homme raisonnable"
 
La Rochefoucauld
Moraliste et homme politique français
Né à Paris le 15 décembre 1613
Décédé à Paris le 16 mars 1680

Au vu de ce qui a été écrit j’ai eu envie de venir ajouter ma pierre à l’édifice philosophique. Bon je suis long à la détente mais mieux vaut tard que jamais.

En ce qui concerne les citations de Gonzague, moi je les trouve parfaitement à propos.
Je pense que Gonzague a la maturité intellectuelle nécessaire pour faire "le con" tout en ayant du recul par rapport à ses actes. Il faut éviter de juger trop vite les gens sans les connaître réellement.

Enfin j’écris surtout par rapport à l’usage du mot honte. La honte est définie comme un sentiment pénible provoqué par une faute commise, par une humiliation, par la crainte du déshonneur. En est-on là ?

Qu’on parle de honte d’être un homme confronté à l’inhumanité d’autres hommes (viol, inceste, torture, violences extrêmes…) je veux bien, pas de quelqu’un qui a eu pour tort de sortir de ses cages en criant…

Avoir honte signifie être livré à l’inassumable. Mais cet inassumable n’est pas une chose extérieure, il provient au contraire de l’intimité même. Le moi, par conséquent, est ici vaincu, supplanté par sa propre passivité, par sa sensibilité la plus propre ; et néanmoins, cet être exproprié et désubjectivé est aussi une extrême, irréductible présence à soi du je.
Dans la honte, on a donc pour seul contenu notre propre désubjectivation .

Heidegger défini la honte comme plus qu’« un sentiment que l’homme a » ; elle constitue la tonalité émotive qui traverse et détermine tout son être. « L’être lui-même porte avec soi la honte, la honte d’être. »

Pour en finir, selon Walter Benjamin, la sensation qui domine dans la honte de l’autre est la peur d’être reconnu par ce qui nous dégoûte. « Ce qui s’effraie au tréfonds de l’homme, c’est la conscience obscure qu’il y a en lui quelque chose qui vit, et qui est si peu étranger à l’animal répugnant que celui-ci pourrait bien le reconnaître. » Celui qui éprouve de la répugnance s’est donc, d’une façon ou d’une autre, reconnu dans l’objet de sa répulsion, et craint d’être à son tour reconnu par lui. L’homme qui éprouve de la répugnance se reconnaît dans une altéralité inassumable, autrement dit, il se subjective dans une absolue désubjectivation.

Bref, tout ça pour dire qu’on est avant tout sur le terrain pour s’amuser sans se prendre la tête parce que ça peut vite devenir chiant, la preuve

Sur ce, DANS TA CHATTEEEEEEEEEEE!!

C clair , y en a qu'on vraiment du temps à perdre à moins que ce soit dans le programme de révision... En tout cas "chapeau"!!! Quelles connaissances philosophiques!!!

Ouai ouai copier coller, facile !

C'est pas en philosophant qu'on va faire avancer les choses...

Sur ce... DTQ

Notre AVENIR !

Ouais mais si tu rale pas, les choses avancent pas, et les gens se motivent pas, crois en mon experience...

Et puis niveau se bouger, j'ai prévu de refair tout un site, alors ca va merci, et ne joue pas sur un terrain glissant, tu risque de te faire très mal...

Sur ce...